vendredi 14 décembre 2012

Réunion du 12/12/12
Aujourd’hui, nous avons pris des potos avec les bulles qui nous serviront de transition dans notre film. Nous nous sommes bien amusées. Nous devions faire des gestes particuliers. J’avoue que je suis nulle en jouant des rôles, mais Abir et Evgeniia ont bien interprété leurs gestes.
Ben et Marion ont accepté de nous aider en nous prenant des photos.
Ces derniers jours nous avons bien avancé, il nous reste juste d’ajouter quelques détails, comme la création du blogue.
On arrive à la fin, je pense qu’on a fait un bon travail en équipe et j’ai appris plein de choses avec mes camarades.

samedi 8 décembre 2012

Reunion du 5/12/12

Aujourd'hui, Evgeniia, Abir et moi, nous avons analysé les ressources afin d'établir et fixer les étapes du film.
Malgré quelques problèmes de son, les enregistrement et les vidéos étaient très bien et nous avons suffisament de matériel pour le montage vidéo.
J'avoue que je ne m'attendais pas à une telle participation des marsellais dans les enregistrement et les vidéos, la plupart a accepté d'être filmés.
La production finale est en train de se faire.
J'espère que mes camarades soient aussi dans le bon chemain.

mercredi 28 novembre 2012

Réunion du projet 28/11/12

Lors de cette réunion, nous avons réfléchi à l’ouverture et la clôture de notre vidéo : nous avons écarté l’idée de la création de la marguerite que nous avons enfin replacée par un puzzle.
Nous avons décidé de créer un slam pour présenter notre vision de Marseille.
La dernière partie de la réunion a été consacré à la création du blog. Par le biais de différents billets, nous montrerons les diverses ressources sur lesquelles nous avons travaillé. Enfin nous montrerons une vidéo/film de notre travail.


Réunion du projet 27/11/12


Aujourd’hui, mes camarades et moi, nous allons fait les points sur les tâches que nous avons faites  pendant le week-end. Pendant que nous étions en train d’établir les objectifs du lendemain, Evgeniia a pensé que nous pourrions créer une marguerite pour la fin de la vidéo  afin de montrer les idées que nous avons écartées. A mesure que le projet avance, les objectifs se précisent et des nouvelles ressources se mettent en place.

samedi 24 novembre 2012

Projet ethnologue: réunion mercredi 21 novembre
Lors de cette séance, nous avons rédigé un questionnaire pour le micro-trottoir. Ensuite, nous avons discuté sur les parties de la vidéo : nous voulions montrer beaucoup de choses, mais faute de temps, il a fallu réduire nos ambitions. Après avoir décidé les points à traiter dans chaque partie, nous avons réfléchi  sur la transition entre les différents éléments afin de trouver une cohérence. Enfin nous avons fait une liste des tâches à accomplir et nous les avons distribuées en fonction des compétences individuelles.
Il a fallu 3 réunions pour bien fixer le scénario, sélectionner les idées les plus pertinentes et constituer le plan du projet. Donc après cette difficulté, nous allons interviewer les gens. J’espère qu’ils collaborent !!

mardi 20 novembre 2012

Projet ethnologue: réunion mardi 20 novembre
Aujourd’hui, Abir, Evgeniia et moi, on a fait un Brainstorming afin de trouver le maximum d’idées pour réaliser notre micro-trottoir et bien fixer notre scénario. Ensuite, on a mis tout en commun et on a réfléchi sur ce qui est réalisable ou pas. Notre travail commence à avoir forme, mais il va falloir se dépêcher pour finir à temps le projet. Pour la réunion prochaine, on doit penser aux questions à poser aux interviewés et faire un plan avec les tâches à faire.

mercredi 14 novembre 2012

Gestion du projet ethnologue.
Lors de notre première réunion du projet ethnologue, mes camarades et moi, nous avons confronté nos idées. Ensuite, nous les avons comparées avec les critères d’un projet ethnologue afin de vérifier  que nous étions sur le bon chemin. Etant donné qu’il ne reste que cinq semaines avant la présentation du projet, on a dû réduire nos ambitions.
Nous avons également parlé de nos compétences pour mieux distribuer les tâches.
Enfin, nous avons fixé un rendez-vous avec des nouveaux objectifs à accomplir.

jeudi 8 novembre 2012

Analyse de scénarios simples et guidés.
Le rallye Parc de la Camargue permet aux apprenants de découvrir  la Camargue. L’objectif est bien culturel. Mais il faut se méfier de ce support, puisque sous l’aspect de tâche se trouve un exercice classique avec des consignes et des questions. On pratique la compréhension écrite : les apprenants doivent chercher sur internet des  sites sur la Camargue, lire les informations afin de répondre à quelques questions. Le canevas est simple et guidé.
Il semble s’adresser aux apprenants du niveau A1, mais ce n’est pas évident. Les apprenants doivent chercher sur internet des informations détaillées, précises, mais ces élèves n’ont pas assez de connaissances pour décortiquer le texte. Il s’adresse plutôt à des apprenants du niveau B1.
Ensuite, on ne trouve pas les étapes propres à un rallye.
D’un autre côté, nous pouvons constater que l’évaluation n’est pas précisée. Les apprenants méconnaissent les buts à attendre.
Le rallye à Paris  pose les mêmes problèmes. Le niveau n’est pas adéquat aux apprenants. Il s’adresse plutôt aux élèves du niveau B1 ou B2. Nous sommes également devant un exercice de compréhension écrite. On trouve des étapes propres aux rallyes avec différents exercices, mais on ne précise pas les buts à attendre, les élèves ne savent pas pourquoi ils doivent répondre à ces questions, où ils vont être évalués.
Ensuite le rallye propose une fiche pédagogique qui s’adresse plutôt aux enseignants, pas aux apprenants. On peut trouver  un mélange d’objectifs généraux (linguistiques, pragmatiques et culturels) qui ne sont pas clairs. Dans un canevas simple et guidé comme celui-ci on doit préciser un ou deux objectifs. Dans ce cas-là on aurait dû préciser que l’objectif est bien culturel (découverte de Paris)
D’un autre côté on s’aperçoit que les consignes ne sont pas claires. On voit que les apprenants doivent répondre aux questions par étapes, mais en bas de la page on se rend compte qu’il y a des pistes.
La ballade virtuelle dans les magasins  consiste à consulter les catalogues des magasins de vêtements  sur internet et de se renseigner sur les modes de paiement et de  livraison, les garanties, etc. les apprenants feront semblent de faire un achat. Ensuite ils mettent en commun leurs achats et comparent les prix et les modèles. Enfin, ils doivent se mettre en situation et rédiger une réclamation et puis avoir une conversation téléphonique afin de pratiquer la compréhension écrite et orale. Donc,  on est également dans un exercice classique avec des consignes. L’approche est globale avec des activités langagières différentes.
 Le niveau s’adresse effectivement aux apprenants du niveau avancé. Mais le problème se pose sur les objectifs spécifiques, puisque ils sont trop faciles pour un apprenant de niveau avancé : les adjectifs, les chiffres, les goûts et les préférences)
En plus en haut on voit écrit objectifs et consignes et tout de suite on passe aux exercices et les objectifs apparaissent en bas.
Les rallyes permettent de renforcer une activité langagière autour d’une thématique ainsi que de développer l’autonomie de l’apprenant, mais on a constaté que ce n’est pas le cas de ces rallyes.
 Cliquez pour consulter ces rallyes.

 

vendredi 19 octobre 2012

Projet TIC.
Afin d’améliorer les compétences langagières de nos apprenants ainsi que leurs connaissances culturelles, j’ai envisagé de faire le projet suivant.
Imaginons qu’on va faire une visite culturelle  avec nos apprenants dans une ville ou village de la France. Par groupes, les apprenants devront réaliser l’activité suivant : on distribue à chaque groupe une fiche avec différentes tâches à accomplir et une carte de la ville : les apprenants trouveront des noms des rues où ils devront se rendre pour découvrir soit un monument soit des lieux emblématiques. Une fois le groupe y  est arrivé ils devront répondre à deux ou trois questions par rapport au monument ou le lieu. Ils devront poser ces questions soit à à l’accueil du monument ou au gens de la ville et puis pour montrer qu’ils sont bien passé par le lieu ils devront prendre des photos de chaque lieu. Parfois au lieu de donner de noms de rues on peut fournir une photo d’un monument et les apprenants devront demander au gens de la ville où se trouve, de quoi il s'agit et puis se rendre au lieu afin de poser et répondre aux questions.
Les apprenants auront un maximum de 4 heures pour réaliser cette tâche : le temps fini, les groupes  se réuniront avec  les enseignants pour faire une mise en commun : le groupe qui a répondu à plus de questions correctes  gagnera un prix (un objet emblématique de la ville)

vendredi 12 octobre 2012

Approche ethnologue.
En quoi consiste l’approche ethnologue? Quels sont les avantages de cette perspective dans l’enseignement ?
Avant de répondre à ces questions, il faut définir l’ethnologie.
L’ethnologie est une science sociale et humaine qui s’intéresse aux différentes cultures à travers le monde. Elle s’interroge notamment sur leurs points communs et leurs différences ou, autrement formulé, sur l’universalité et la relativité des pratiques et représentations humaines.
Afin de sensibiliser les apprenants  à la diversité culturelle, nombreux sont les centres éducatifs qui proposent des activités qui abordent cette thématique en développant le respect de la liberté de conscience et du principe de non-discrimination (Approche ethnologue)
Ces activités consistent à réaliser des enquêtes sur le terrain comme un ethnologue. Les participants doivent avoir effectué des recherches sur la thématique avant les entretiens. Ensuite, les élèves sortent sur le terrain : ils prennent des photos, font des entretiens, des enregistrements, prennent des notes,  observent l’environnement. Après cette sortie, les apprenants doivent analyser leurs résultats et faire une mise en commun. C’est le moment le plus important : les élèves échangent leur point de vue, leurs impressions.
Dans  le micro-trottoir interculturel les participants sortent dans la rue pour enquêter les passants en leur demandant leur définition de dialogue interculturel.
D’un autre côté, dans le micro-trottoir Université les étudiants vont  dans une université d’Ile-de-France et enquêtent le personnel de l’université sur les services de la carte d’étudiant et rencontrent en même temps d’autres étudiants universitaires.
Ce type d’activité développe les capacités sociales des élèves en même temps qu’ils prennent conscience de la diversité culturelle et approfondissent leurs connaissances.

Synthèse des articles  La mort du manuel et le déclin de l’illusion méthodologique, de Francis Debyser et Approche communicative : un second souffle ?, de Jean- Marc  Caré.
En pleine révolution pédagogique, des changements dans la méthodologie de l’enseignement de langues surgissent.  Même si les formules actuelles  ne présentent pas de graves défauts, Francis Debyser et J.M Caré proposent des procédés pédagogiques fondés sur la simulation qui permettent aux apprenants de reproduire de situations  dans lesquelles ils peuvent se trouver réellement à l’issue de leur formation. Les apprenants imitent le réel  à l’aide de techniques telles que la dramatisation, la simulation et l’improvisation.
La dramatisation permet aux élèves de mémoriser un texte et puis  de jouer un rôle et mettant en œuvre des pratiques non-verbales.
D’un autre côté, la simulation permet aux élèves de jouer de séquences de communication prévisibles  à l’aide d’un canevas. Il s’agit d’une simulation contrainte ou fermée. En revanche, il faut tenir compte que dans la vie réelle tout ne se passe pas comme prévu.  Pour résoudre ce problème, J.M Caré propose des techniques de simulation moins programmées : dans la simulation ouverte, l’enseignant  décrit le début d’une situation de communication mais pas le déroulement. Dans la simulation globale, les apprenants en groupe doivent inventer une autre partie du monde (construire un immeuble) leur  permettant de refaire le monde à leur manière, d’imaginer un autre monde possible.
Si on veut aller plus loin, J.M Caré propose l’improvisation. Sans texte, sans canevas, l’apprenant  doit mettre en œuvre son spontanéité et faire appel à l’imagination et la fantaisie.

Saviez-vous que l’origine de la baguette de pain remonte aux années 1830 lorsque le pain viennois est introduit en France?
Cliquez ici pour plus de renseignements.

http://ipr.univ-paris1.fr/spip.php?article87
Quelle es la vision que nous avons de la France et de ses habitants? Les français portent toujours un béret sur la tête et une baguette sous le bras ? Il y a toujours du vin rouge et du camembert sur leurs tables ? Comment sont-ils perçus à l’étranger ?

Ce blogue vous permettra de découvrir les stéréotypes, les impressions que nous avons du peuple français.

Voilà une vidéo de Cédric Villain qui nous permettra de mieux connaître ces clichés.





Qu’est-ce que vous en pensez? Sont-ils vrais ces stéréotypes ?